Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 25 mars)
M&A : quelles perspectives pour 2019 ?
L'exercice prévisionnel est toujours délicat et les scénarii possibles multiples, mais on peut valablement penser que l'incertitude et la volatilité des marchés vont persister. La tendance devrait revêtir, entre autres, les quelques caractéristiques suivantes : les deals internationaux devraient diminuer au profit d'opérations plus nationales ou régionales du fait de régulations contraignantes, d'un renforcement notoire des pratiques protectionnistes et de stratégies défensives de consolidation nationale. Les mega-deals devraient quant à eux continuer à souffrir comme ce fut déjà le cas en 2018. L'activisme actionnarial devrait continuer à être prééminent, aux Etats-Unis ainsi qu'en Asie et en Europe. Les groupes de private equity, dotés de larges ressources, devraient voir leur poids continuer à se renforcer et cibler de plus en plus des entreprises cotées pour les sortir de la côte. Enfin, les valorisations resteront élevées et la tendance des firmes acheteuses à abandonner une partie importante des synergies au profit des firmes vendeuses se poursuivra. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos
Les courtiers en financements ont le vent en poupe
Comme le courtage de prêts immobiliers particuliers il y dix ans, le courtage de financements professionnels connaît actuellement un développement rapide en France. Cet essor est porté non seulement par les transformations de l'industrie bancaire, mais aussi par un nombre croissant d'entreprises cherchant à surmonter leurs difficultés d'accès au financement. Intermédier un milliard d'euros de financements professionnels au cours des trois prochaines années. C'est le but visé par Cafpi, acteur historique du courtage de prêts immobiliers, qui a lancé le mois dernier une nouvelle offre dédiée aux entreprises. S'il peut sembler très ambitieux de prime abord, cet objectif est pourtant loin de dénoter avec les visées de la concurrence. Meilleurtaux.com et La Centrale de Financement envisagent en effet, pour l'un, de multiplier annuellement par cinq ou six le nombre de ses dossiers sous gestion, pour l'autre, de porter à 10 % la part du courtage de financements professionnels dans son chiffre d'affaires, contre 1 % à fin 2018. >> Lire l'article complet sur le site Option Finance
Le Parlement dénonce des mesures insuffisantes contre l'évasion et la fraude fiscale
Le Parlement a approuvé en plénière un rapport demandant aux institutions et pays de l'UE d'adopter des mesures contre le blanchiment de capitaux, l'évasion et la fraude fiscales. Le texte, adopté par 505 voix pour, 63 contre et 87 abstentions le 26 mars, est le résultat d'une année de travail de la commission spéciale sur les crimes financiers, la troisième du genre mise en place à la suite de scandales tels que les Panama Papers, LuxLeaks ou les Paradise Papers. Les eurodéputés recommandent par ailleurs la suppression progressive des " zones franches ", qui offrent des avantages fiscaux pour certaines opérations. Ils n'ont toutefois pas trouvé d'accord pour demander l'introduction d'un taux minimum d'imposition des sociétés dans l'ensemble de l'UE. >> Lire l'article complet sur le site Euractiv
Comment Louvre Hotels Group a affiné son pilotage fiscal
Depuis la prise de contrôle, en 2015, de son capital par le numéro un chinois de l'hôtellerie Jin Jiang, la fonction finance de Louvre Hotels Group vit une révolution. Le propriétaire des hôtels Kyriad, Campanile, Première Classe ou encore Golden Tulip a choisi de regrouper, dans un seul outil, les déclarations relatives à l'ensemble des taxes auxquelles il est assujetti. Objectif : améliorer le suivi et l'accessibilité de ces données stratégiques. Par l'intermédiaire de ce nouveau logiciel entièrement en mode SaaS - pour Software as a Service, ou logiciel à la demande - Louvre Hotels Group bénéficie d'une base centralisée où sont regroupés tous les éléments relatifs à ses devoirs déclaratifs. En découlent une meilleure lisibilité des données et du reporting fiscal, une amélioration du suivi des tâches, et une plus grande accessibilité de ces informations stratégiques qui étaient auparavant disséminées dans plusieurs systèmes. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos
Quelle musique écouter au bureau pour être plus productif ?
Écouter de la musique en travaillant impacte votre productivité... et pas toujours en bien ! Histoire de couper court aux débats entre collègues - Booba ou Chopin ? -, certaines études font le point ! D'une manière générale mieux vaut oublier les musiques avec paroles car elles parasitent notre cerveau et nous empêche de nous concentrer. A eviter également les titres populaires qui donnent envie d'être fredonner dans l'open space. Autre enseignement lorsqu'il s'agit de musique au bureau pas question d'imposer ses choix aux autres. Cela aurait un effet clivant au lieu d'être fédérateur. Pour se concentrer mieux vaut privilégier les musiques relaxantes et répétitives. La musique classique aurait tendance à améliorer l'humeur et favoriser la concentration. A contrario écouter de la musique épique (avis aux amateurs de Game of Thrones) serait sacrément boostant! >> Lire l'article complet sur le site L'ADN
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