28 % des objets publicitaires sont remis dans le cadre du travail
Pour accompagner les sociétés dans leur choix d'objets de communication et de cadeaux d'affaires, la société Lagardère se présente comme un des acteurs leaders sur le marché de l'objet promotionnel en France. Dirigée par Frédéric Misseri, elle s'est récemment dotée d'une division design et création.
En période de crise économique, les entreprises doivent déployer des trésors d'inventivité pour fidéliser et développer leur portefeuille clients. Dans la conquête du client, l’objet de communication et le cadeau d’affaires sont des armes stratégiques. « L’objet grave l’image d’une entreprise dans l’esprit de ses clients et crée le réflexe auprès du récipiendaire(1) », affirme Frédéric Misseri, p-dg de la société Lagardère. « Il fonctionne quel que soit le domaine d’activité et la personne qui le reçoit, et convient aux entreprises de toutes tailles », ajoute-t-il.
L’objet publicitaire est un vecteur de communication précis et personnel : il permet un ciblage direct et une remise en main propre. L’entreprise tisse ainsi des liens avec le récipiendaire. Et c’est bien là qu’est le nerf de la guerre puisque la proximité est indispensable à la création d’une relation véritable et durable (58 % des personnes sont plus favorables à l’annonceur après avoir reçu un objet publicitaire) (2)
Lagardère, propriétaire de la marque Marketing-Objet, propose en amont de la campagne une réflexion adaptée aux impératifs de son cœur de métier, le cadeau publicitaire. « À l’issue du processus, l’objet n’est plus sélectionné comme un support de substitution ou de complément mais comme un vecteur optimal de communication avec promesse et évaluation de résultat », affirme son dirigeant.
Signe des temps, la publicité par l’objet est plus que jamais considérée comme un média à part entière et France Pub vient de l’intégrer pour la première fois à son étude sur "Le marché publicitaire français en 2011".
À quelles occasions sont remis les objets publicitaires ? (2)
• 40 % au cours d’un évènement ;
• 28 % dans le cadre du travail ;
• 26 % sur un lieu de vente.
(1) 76 % des personnes estiment accorder de l’importance aux objets publicitaires et 60 % aimeraient en recevoir plus.
(2) Source : 2FPCO Étude de l'objet publicitaire en France en 2011.
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