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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 7 octobre 2024)

Cette semaine dans la presse éco-finance : le géant Stellantis débarque sa daf et annonce la retraite de son dg pour rassurer ses investisseurs, le groupe Sanofi négocie la vente de sa filiale de santé grand public, Opella, qui produit le doliprane à un fonds américain et le PLF 2025 rebat les cartes de la fiscalité des entreprises... Bonne lecture !

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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 7 octobre 2024)

Pour rassurer ses investisseurs, Stellantis sacrifie sa daf

Pour rassurer les investisseurs, après un cours de Bourse qui a chuté de plus de 50% en six mois, Stellantis a annoncé, dans la nuit de jeudi à vendredi, un grand remaniement de son équipe de direction. Le constructeur se sépare de sa directrice financière, Natalie Knight, remplacée par Doug Ostermann, jusqu'alors directeur financier pour la Chine. Le groupe officialise aussi le départ à la retraite de Carlos Tavares, son PDG, au terme de son mandat en 2026. >> Lire l'article de la Tribune.fr

Sanofi envisage de vendre sa filiale Opella aux américains

Le doliprane va devenir américain ! Ainsi, Sanofi a choisi d'engager des négociations exclusives avec le fonds américain CD&R afin de lui céder sa filiale de santé grand public, Opella, pour plus de 15 milliards d'euros. La filiale de santé grand public du groupe pharmaceutique français compte plus d'une centaine de marques, dont le Dulcolax, la Lysopaïne ou encore le Maalox. >> Lire l'article sur le site du Monde.fr

Budget 2025 : ce qui va changer pour les entreprises

Le gouvernement a dévoilé son projet de loi de finances 2025 hier soir et a dressé plusieurs pistes pour les entreprises pour freiner le dérapage des comptes publics. >> Le site des Echos.fr propose un tour d'horizon des différentes mesures et pistes évoquées.

France : la taxe sur les grandes entreprises devrait rapporter 900 millions d'euros selon JP Morgan

Selon une dépêche de l'agence Reuters reprise par le site Challenges.fr,les analystes de JP Morgan ont calculé que les groupes financiers français ne devraient contribuer qu'à hauteur de 900 millions d'euros sur l'objectif de 8 milliards d'euros attribué à la taxe exceptionnelle sur les grandes sociétés. Ainsi, le PLF pour 2025 prévoit notamment une contribution exceptionnelle sur les bénéfices des entreprises réalisant un chiffre d'affaires supérieur ou égal à un milliard d'euros pour 2025 et 2026 ainsi qu'une taxe sur les rachats d'actions suivis d'une réduction de capital. Selon leurs calculs, cette taxe exceptionnelle coûterait pour 2024 et 2025 un total de 242 millions d'euros à BNP Paribas, 301 millions d'euros à Crédit Agricole et 74 millions d'euros à Société Générale.

«La French Tech ne peut pas être financée qu'à travers le soutien de l'État», avertit la nouvelle secrétaire d'État au numérique

Dans une interview accordée au Figaro.fr, Clara Chappaz, secrétaire d'État à l'intelligence artificielle et au numérique garantit que la French Tech n'a pas été sacrifiée dans le PLF 2025, bien que plusieurs mesures d'aides à l'écosystème des startups ait été supprimées. La ministre l'assure toutefois, "ce sont aujourd'hui les plus grandes entreprises qui contribuent le plus à l'effort, pas les start-up".








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