Facturation électronique : une réforme vue comme une opportunité
Publié par Basware le - mis à jour à
Alors que la réforme sur le passage à facturation électronique est prévue en juillet 2024, trop peu d'entreprises en connaissent l'existence. Pourtant, de belles opportunités sont envisageables à condition d'être bien accompagné. Le point avec Alexis Hartmann, VP France et UK Basware.
Comment la réforme peut-elle être perçue comme une opportunité pour les entreprises ?
En préambule, le constat semble un peu inquiétant : trop peu d'entreprises connaissent l'existence de cette future réforme. Peut-être en raison d'une perception un peu "High Tech" de celle-ci avec des contraintes technologiques. Pourtant, cette réforme doit être avant tout perçue comme une formidable opportunité... et non comme une contrainte.
Une opportunité qui se dessine selon trois axes. Le premier s'appuie sur la compétitivité, puisque la réforme va apporter une automatisation (sur le traitement des factures notamment) associée à une optimisation des coûts. Le ratio suivant doit être à l'esprit : un euro de gains en termes d'achats sera équivalent à cinq euros sur une croissance de chiffre d'affaires. Un gain d'autant plus important, compte tenu du contexte inflationniste dans lequel le monde économique se retrouve.
Le deuxième axe tourne autour de la satisfaction client. La réforme s'inscrivant sur ce qui a été fait dans le B2C, elle va permettre de fluidifier les flux de transmission d'informations pour in fine, améliorer la rétention client qui est souvent difficile à mesurer.
Le troisième axe est lié à la conformité du traitement fiscal (notamment de la collecte de la TVA) pour l'ensemble des entreprises, ce qui va permettre de minimiser le risque d'erreurs sur le traitement des factures.
Quels sont les conseils prodigués par Basware pour être prêt ?
Au-delà de se rendre sur le site dédié à l'accompagnement des clients créé par Basware, en lien avec cette réforme, trois types de conseils peuvent être donnés. Un 1er qui doit sonner comme "anticipation". En effet, les entreprises qui n'ont pas encore basculé sur la facturation électronique vont devoir anticiper des projets qui vont durer de 4 à 6 mois. Or la question à se poser aujourd'hui : est-ce que ma solution actuelle va se mettre à niveau ?
Il faut par ailleurs prendre cette réforme comme un moyen pour optimiser le traitement des factures. Il ne s'agit pas d'une simple dématérialisation fiscale puisque les nouveaux outils permettent d'automatiser le rapprochement, les approbations, etc. Sans oublier la partie satisfaction des équipes grâce à des outils plus ergonomiques et "ludiques" que par le passé.
Enfin, même si la réforme est française, il faut penser international puisque tous les flux dépassent désormais les frontières. Il faut donc pouvoir choisir des prestataires qui vont être en capacité d'accompagner les clients... à l'international.
Quel est le contexte de la réforme face aux autres pays européens et l'impact pour les entreprises françaises présentes à l'étranger ?
De nombreux pays européens ont déjà sauté le pas. Ce projet s'inscrit donc dans un projet global européen et l'impact de cette réforme n'est pas nouveau pour un bon nombre d'entreprises situées à l'étranger et qui sont déjà soumises à notre future réforme. L'enjeu pour nos entreprises françaises est le suivant : qu'elles soient en mesure de s'interconnecter avec d'autres réseaux et d'autres types de factures. D'où l'importance de faire appel à des prestataires ayant une dimension internationale, tel que Basware.
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