Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 21 octobre 2024)
Publié par la rédaction le - mis à jour à
Cette semaine dans la presse éco-finance : découvrez le fonctionnement des agences de notation mais aussi comment le groupe Sanofi booste ses résultats financiers grâce aux vaccins hivernaux, l'annonce d'Atos qui a fait valider son plan de sauvegarde, ou encore comment le groupe Auchan cherche à céder ses magasins en Russie et l'Allemagne teste avec succès la semaine de 4 jours en entreprise, ...Bonne lecture !
Dans les coulisses des agences de notation
Standard & Poor's et Moody's, Fitch... les noms de ces agences de notation peuvent faire trembler les places financières. Chaque agence possède son système de notation avec des notes qui s'établissent de A à D avec des échelons intermédiaires. Les notes peuvent être ainsi accompagnées d'un « + » ou « - » ou encore d'un « 1 » ou « 2 ». De manière générale, plus la note est élevée, plus le risque est faible. Mais pourquoi sont-elles critiquées? Et comment sont-elles contrôlées? L'opinion des investisseurs peut-elle changer à l'égard de la France, suite à une mauvaise notation ? >> Retrouvez toutes les réponses sur l'article de la Tribune.fr
Résultats financiers : Sanofi aborde l'hiver en pleine forme
Malgré l'actualité du groupe et les ardentes discussions autour de la future cession de sa filiale de santé grand public Opella au fonds américain CD & R, le géant pharmaceutique affiche des résultats financiers florissants à l'approche de l'hiver. Les raisons? la vente de vaccins grippaux qui décollent ou celui du Beyfortus, recommandé contre la bronchiloite des nourrissons, ... Cela s'est traduit par une progression de plus de 12 % de son chiffre d'affaires du troisième trimestre comparé à la même période l'an dernier, à 13,4 milliards d'euros. >> Lire l'article sur le site des Echos.fr
Atos a gagné une bataille mais pas la guerre
Jeudi 24 octobre, Atos a annoncé la validation par le tribunal de commerce de Nanterre du plan de sauvegarde porté par les créanciers du groupe informatique, qui vont ainsi devenir ses actionnaires principaux. Mais si cela laisse un peu de répit au groupe, ce dernier va devoir vendre davantage et étoffer son carnet de commandes. Ainsi, le groupe laisse entendre que le redressement de l'activité devrait surtout avoir lieu en 2025, avec toutefois une amélioration des prises de commandes dès le quatrième trimestre 2024. >> Lire l'article sur le site d'Usinenouvelle.com
Le groupe Auchan cherche à sortir de Russie
Plus de deux ans et demi après l'invasion de l'Ukraine, le groupe Auchan semble proche de sortir de Russie. Selon un article publié jeudi 24 octobre par le média d'informations exclusives "La Lettre", l'enseigne dans la galaxie Mulliez est « entrée en phase finale de négociation avec un acteur local » afin de lui céder sa filiale russe, sans préciser le nom du repreneur. Selon les informations du journal Le Monde, il pourrait s'agir de Gazprombank, la filiale bancaire du géant russe, bras gazier du Kremlin, qui avait déjà repris en septembre 2023 des centres commerciaux à Ingka Group (Ikea), où sont installés certains des magasins russes d'Auchan. >> Lire l'article sur le site du Monde.fr
La semaine de 4 jours testé et approuvée en Allemagne
Avec le débat sur la fin ou non du télétravail suite à l'annonce fracassante du géant Amazon qui a fait volte-face sur le sujet en le supprimant, le débat sur la semaine des 4 jours revient en force. Si travailler uniquement du lundi au jeudi semble utopique, certaines entreprises testent cette fameuse semaine des 4 jours à petite échelle afin d'en voir les atouts et/ou inconvénients. C'est notamment le cas en Allemagne avec des entreprises qui misent dessus notamment pour attirer des profils en pénurie sur le marché du travail. De cet atout différenciant, elles veulent en faire une force de leur politique RH. Avec des résultats : au-delà des six mois, 39 % des entreprises l'ont adoptée. Les salariés se disent satisfaits, la productivité a progressé. >> Lire l'article sur le site du Figaro.fr